Même si je dois avouer que je suis une grande admirative des teasings merveilleux dont regorge le monde du cheval chaque année au moment de la rentrée (Eugénie, tu me tiens depuis une bonne semaine, chaque post est un vrai cliffhanger!), ce n'est pas vraiment ma cam'. Je suis bien trop excitée, bien trop peu organisée, et la rentrée étant ma période de l'année préférée, j'ai trop de listes à faire et de bonnes résolutions à prendre pour me perdre en communication et effets d'annonce.
2019 fut l'année du changement (on me dit dans l'oreillette que ce n'est d'ailleurs pas fini) et pas seulement parce que j'ai passé la dizaine supérieure. Entre autres choses plus personnelles ou moins cavalières, un gros, gros changement s'est faufilé discrètement par la porte de derrière en janvier dernier. Après des années passées à le repousser à grands coups d'ignorance, à l'enterrer sous des arguments fébriles, à le démonter avec une mauvaise foi remarquable, il m'a finalement eue. Le Renforcement Positif est entré dans ma tête comme une série qu'on regarderait d'abord d'un œil distrait. Et puis on s'attache à quelques personnages, on se reconnaît dans certaines des situations et sans s'en rendre compte, on est complètement accro et Amy Poehler devient notre meilleure amie.
Si je me décide à n'en parler que maintenant, c'est parce que je suis, comme beaucoup d'entre nous, fermement réfractaire au changement. Aller vivre dans un autre pays, changer complètement de voie, devenir belle-mère par intérim oui, facile, pourquoi pas, quand vous voulez. Mais changer ma façon d'appréhender les choses, changer les filtres qui me composent, reconnaître l'assourdissante dissonance qui m'habite, oh bordel non merci. Il m'a donc fallu plus de six mois pour accepter, accueillir et aujourd'hui assumer ce changement majeur qui bouleverse mes habitudes et ma personne bien plus que dans le simple cadre de mon travail avec les chevaux.
Ok, donc ça c'est posé là, c'est cool. Je resterais bien pour en papoter mais j'ai paddle. A dans dix jours 😘
2019 fut l'année du changement (on me dit dans l'oreillette que ce n'est d'ailleurs pas fini) et pas seulement parce que j'ai passé la dizaine supérieure. Entre autres choses plus personnelles ou moins cavalières, un gros, gros changement s'est faufilé discrètement par la porte de derrière en janvier dernier. Après des années passées à le repousser à grands coups d'ignorance, à l'enterrer sous des arguments fébriles, à le démonter avec une mauvaise foi remarquable, il m'a finalement eue. Le Renforcement Positif est entré dans ma tête comme une série qu'on regarderait d'abord d'un œil distrait. Et puis on s'attache à quelques personnages, on se reconnaît dans certaines des situations et sans s'en rendre compte, on est complètement accro et Amy Poehler devient notre meilleure amie.
Si je me décide à n'en parler que maintenant, c'est parce que je suis, comme beaucoup d'entre nous, fermement réfractaire au changement. Aller vivre dans un autre pays, changer complètement de voie, devenir belle-mère par intérim oui, facile, pourquoi pas, quand vous voulez. Mais changer ma façon d'appréhender les choses, changer les filtres qui me composent, reconnaître l'assourdissante dissonance qui m'habite, oh bordel non merci. Il m'a donc fallu plus de six mois pour accepter, accueillir et aujourd'hui assumer ce changement majeur qui bouleverse mes habitudes et ma personne bien plus que dans le simple cadre de mon travail avec les chevaux.
Ok, donc ça c'est posé là, c'est cool. Je resterais bien pour en papoter mais j'ai paddle. A dans dix jours 😘
Commentaires
Enregistrer un commentaire