Simple Plan - Jet Lag

Il est 22h23 à Corvallis. Il est pour moi 7h23, demain matin. Mon corps ne pense qu'à une chose, câliner cette couette confortable et enfoncer sa tête dans l'oreiller moelleux. Mon horloge interne est un peu perdue, c'est carrément l'heure de dormir, mais on a bien dormi hier soir, ou est-ce que c'était ce matin ? Bref. Je vous fait pas un dessin, c'est le bordel. Et c'est bien sur à ce moment là que surgit L'idée, avec un grand L.

Bon nombre d'entre vous m'ont demandé d'envoyer des nouvelles tout au long du voyage, "pas comme la dernière fois", "ou au moins UN mail quoi !" mais on sait tous, enfin, vous les personnes concernées et moi-même, les autres s'en foutent, que j'ai beau avoir promis, rien n'est moins sûr. 

TADAAAA !

(Ca serait plus classe si vous pouviez me voir atterrir en écartant grand les bras,

un sourire et beaucoup de dents entre chaque oreille, mais vous allez devoir faire sans.)

La blonde qui murmurait à l'oreille des poneys, création libre nullement inspirée du cowboy le plus sexy des années 90 j'ai nommé Robert Redford, est là pour vous. 

De plus, je me doute que tu ne survivrais pas sans le partage de mes réflexions les plus profondes, mon cher Florian, et Kevin, je sais que tu as soif d'un deuxième chapitre concernant la chaussette brûlée. Pour tous les autres, j'espère que vous aimez les poneys, les blondes et les murmures.  

Mon seul problème est la langue dans laquelle écrire - ouais salut, je suis trop bilingue. On a beau faire des progrès, mon cerveau et moi on a une fâcheuse tendance à s'emmêler les pinceaux (expression démodée depuis 72, je vous l'accorde) et on en chie royal (c'est mieux ?) alors il vous faudra faire avec ce qui vient. Si traduction nécessaire, please ask.
(Pour ce qui est de la traduction Google proposée, je décline toute responsabilité.)

So, here's the story of my trip to America, which, I hope, will be full of ponies, sunburns and beautiful people.

Traduction ? Vous saurez tout de mes histoires de cul.